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E.A. Poe, critique au Boston Chronicles, est un être aigri. Il passe ses soirées à consulter une voyante, grâce à qui il communique avec sa défunte mère, et ses nuits à écrire des nouvelles. Un matin, il découvre dans les journaux qu'un meurtre similaire à celui qu'il est en train d'écrire, a eu lieu. Le lendemain, l'expérience se renouvelle et l'écrivain sombre dans un cauchemar infernal.

Avril 1975, le sénateur Brinkslety est sur le point d'accéder à la plus haute marche de l'Etat. Mais la CIA soupçonne cet homme de s'être procuré les dossiers secrets du FBI.

Un cataclysme a recouvert l'atmosphère de la terre d'une couche de poussières qui filtre les rayons UV. Du coup, les vampires qui se cachaient le jour règnent à présent en maîtres et font de la planète leur terrain de chasse. La survie de l'espèce humaine est menacée...

En deux mots : Faut pas prendre les cons pour des gens est un album d'humour absurde sur la bêtise ordinaire, de plus en plus présente autour de nous. À la manière d'un Goossens ou d'un Fabcaro, il tord et maltraite les clichés de la société dans une BD hilarante et grinçante à souhait. Racisme ordinaire, mesures gouvernementales ubuesques, maisons connectées, quotas policiers, surpopulation carcérale, rejet des laissés-pour-compte... Reuzé n'épargne rien ni personne pour notre plus grand plaisir. Côté dessin, il singe la BD contemporaine qui n'hésite pas à reprendre le même dessin sur plusieurs cases.Comme vous l'aurez compris, ce bougre ne prend vraiment rien au sérieux, pas même son éditeur !

Succès surprise de 2019 (60 000 ex. GfK), Faut pas prendre les cons pour des gens revient en octobre pour un tome 02 toujours aussi absurde, hilarant et terriblement efficace. En ces temps où tout le monde se demande si l'on peut encore rire de tout, Reuzé et Rouhaud font fît de ces questions et nous offre un bijou d'humour noir et absurde que n'aurait pas renié Desproges. Chaînon manquant entre l'implacable lucidité des Idées noires et l'absurdité de Fabcaro, cette série fera date dans l'histoire de la BD.

Prisonnier d'une carcasse de béton, Concrete est engagé par un réalisateur de cinéma dans sa nouvelle saga : Les seigneurs de l'omnivers. Concrete se retrouve à gérer beaucoup plus que de la figuration et des effets spéciaux. Des conflits d'égo, d'intérêts et politique vont apensentir l'atmosphère déjà bien alourdie par de curieux incidents.

Un homme seul, obèse et sale est amené au commissariat. Au cours de l'interrogatoire, il livre sa vie et explique comment il a, un jour, lâché prise, et est parti sur les routes à la recherche du Blas, cet instant magique où tout s'illumine et où la vie devient parfaite.

Trois cobayes volontaires du trust pharmaceutique Lexmandlweis développent, alors qu'ils testent une nouvelle molécule, des facultés paranormales doublées d'un comportement psychopathe. Ils découvrent que leurs capacités sont décuplées lorsque leurs objectifs sont unifiés par la colère.

Ce volume réunit deux enquêtes pour lesquelles Hercule Poirot, l'enquêteur belge, est sollicité.